L’état des lieux : clé de voûte de la profitabilité des diagnostiqueurs ?

Longtemps l’apanage des agences et des administrateurs de biens, l’état des lieux connaît aujourd’hui une véritable ubérisation. S’il y a dix ans, les huissiers de justice étaient les premiers à en considérer le bénéfice, de nombreuses sociétés spécialisées ont vu le jour depuis. Aujourd’hui, des réseaux d’indépendants se mettent en place. Les agences immobilières, elles, ont de plus en plus tendance à sous-traiter la pratique.

Qu’en est-il des diagnostiqueurs ? Sont-ils prêts à diversifier leur activité ?

C’est la question que pose la société homePad, éditeur d’application tablette pour la gestion locative.

Au même titre que certains diagnostics, l’état des lieux est une obligation légale à laquelle il convient d’y prêter une rigueur toute particulière. Il constitue une preuve à valeur juridique et doit être rédigé contradictoirement, sur papier ou support numérique. Il s’agit d’une visite technique pour laquelle l’expertise des diagnostiqueurs offre la garantie d’une exhaustivité et d’une analyse fine des dégradations et de la vétusté.

À travers un court questionnaire, la société homePad a donc pour ambition de comprendre les pratiques des diagnostiqueurs et leur approche de l’état des lieux.

Pour participer à cette enquête, répondez à ce sondage qui ne vous prendra pas plus de 2 minutes et recevez gratuitement le Livre Blanc de Guillaume Charpentier, directeur marketing d’homePad, sur l’opportunité financière d’établir des états des lieux. Vous recevrez également les résultats de cette enquête dans les semaines prochaines.

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